Erwan Bizien est thérapeute holistique à Paris & Tours. Il accompagne des personnes en dépression ou ayant des états dépressifs (burn-out) à retrouver sens & goût à la vie, en leur permettant d'identifier l'origine de leur mal-être chronique malgré la prise d'antidépresseur, d'anxiolytiques ou une psychothérapie. D'après lui, la difficulté à savoir comment sortir d'une dépression, est liée à des programmations de croyances (parfois transgénérationnelles) relatives à des DROITS et INTERDICTIONS que l'individu à dans sa vie.
Le DSM4 (le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) donne une définition complète de la dépression comme suit : "la caractéristique essentielle de l'épisode dépressif majeur est une humeur dépressive ou une perte d'intérêt ou de plaisir pour presque toutes les activités. Chez l'enfant ou l'adolescent, l'humeur peut être plutôt irritable que triste.
Le sujet doit de surcroît présenter au moins quatre symptômes supplémentaires compris dans la liste suivante :
- changement de l'appétit ou du poids, du sommeil et de l'activité psychomotrice ;
- réduction de l'énergie ;
- idées de dévalorisation ou de culpabilité ;
- difficultés à penser, à se concentrer ou à prendre des décisions ;
- idées de mort récurrentes, idées suicidaires, plans ou tentatives de suicide.
Les symptômes doivent être présents pratiquement toute la journée, presque tous les jours pendant au moins deux semaines consécutives. L'épisode doit être accompagné d'une
souffrance cliniquement significative ou d'une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants.
Au cours d'un épisode dépressif majeur, l'humeur est souvent décrite par le sujet
comme triste, déprimée, sans espoir, sans courage ou « au trente sixième dessous »
(Critère Al). Chez les sujets se plaignant d'un sentiment de « vide », de ne rien ressentir ou de se sentir anxieux, la présence d'une humeur dépressive peut être déduite à partir de l'expression faciale et du comportement. Nombreux sont ceux qui présentent ou rapportent une irritabilité accrue (p. ex., colère persistante, tendance à répondre aux événements par une crise de colère ou en blâmant les autres ou encore sentiments de frustration démesurés pour des problèmes mineurs)."
Dans son livre "la biologie des croyances", le Docteur Bruce Lipton explique comment notre environnement (la famille, l'éducation, une culture, une religion, l'école, les amis...) façonne la manière dont nous allons vivre et percevoir le monde, nos relations ou encore nous-même.
Dans le cas de la dépression, j'ai pu constater à de nombreuses reprises que des croyances telles que "j'ai le droit de vivre" ; "j'ai droit au bonheur ou au plaisir" ou encore "j'ai le droit à l'Amour" n'étaient pas correctement programmées. Autrement dit, pour ces personnes, ses sont des interdits et elles croient (au niveau inconscient) ne pas y avoir droit dans leur vie ! Ceci pourrait expliquer pourquoi la dépression ou un état dépressif est, ou devient chronique ! Tant que la (ou les) croyance limitante est enregistrée dans l'inconscient, la personne restera en souffrance et aura des difficultés à retrouver intérêt et/ou plaisir pour la vie et ses activités.
Souvent, les personnes dépressives ou en burn-out, vont faire le récit d'une vie pleine de difficultés et d'échecs (petits et grands), de malheurs successifs ou d'un qui est soudain et traumatique, d'une arrivée dans ce monde peu accueillante (gestation et/ou grossesse difficile, enfant non désiré par exemple (viol...), ou avortement raté, déni de grossesse). Ces éléments sont le reflet des croyances subconscientes.
La réponse se situe dans notre inconscient. Comme évoqué plus haut, les perceptions que nous avons eu enfant (voir fœtus in utéro), ont façonné une "réalité" que nous avons adopté.
Souvent, nous héritons inconsciemment d'une croyance limitante du style "je n'ai pas droit au bonheur" (parce que l'un de nos parents a souffert dans sa vie, et lui même n'avait donc pas droit au bonheur). Souvenez-vous, lorsque vous étiez enfant, quels étaient les mots, expressions ou comportements utilisés par vos parents ?
Voici quelques exemples d'expressions utilisées et entre parenthèse une croyance limitante associée : "La vie est dure" (tu n'as pas le droit au plaisir, à la joie) ; "Si j'avais su comment tu serais, j'aurai avorté" (tu n'as pas le droit de vivre, naître ou d'exister) ; "Il faut travailler dur pour réussir" (tu n'as pas le droit à la simplicité et au plaisir)...
Si vous prenez le temps d'observer vos parents et de faire une relecture de leur vie, peut-être identifierez-vous une (ou des) croyance similaire ! Ils n'en sont peut-être pas conscient, encore moins responsable, tout comme vous ne l'êtes pas. Ces programmations remontent souvent, à plus loin dans votre arbre généalogique ou bien peuvent-être culturelles, d'ordre religieux, sociales...
Qu'elle soit dite nerveuse, sévère, réactionnelle, chronique ou saisonnière, la dépression ou l'état dépressif nécessite de LIBERER les stress & REPROGRAMMER dans l'inconscient les croyances négatives sur lesquelles la personne s'est construite depuis son enfance.
Différents traitements et approches thérapeutiques existent pour la dépression, et notamment certaines pour travailler sur l'inconscient (psychanalyse, psychothérapies, hypnose, sophrologie...). Celle que je propose est le recours au processus PSYCH-K ® pour reprogrammer l'inconscient RAPIDEMENT, qui permet au travers du test musculaire de la kinésiologie :
- d'identifier les stress et les croyances dites limitantes enregistrés dans l'inconscient
- de procéder en quelques instants (minutes), à la libération du stress et à la reprogrammation de la croyance limitante
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